Je mentirais en disant que je n’espère guère.Un gentil mensonge pour garder voilésLes manques constants et journaliers,Les mains jointes, les genoux au sol en prière. Mais, à l’impossible, nul n’est soumis.Je sais que si cela est inscrit,Le destin se frayera un chemin. Je ne cesse d’agir en espérantQu’un jour, peut-être, les nuages s’écartentEt que du …