Je ne sais le mal qui t’habite,
Ni toutes ces choses qui, au fond, te rongent.
Mais, je sais que je ne supporte les larmes qui coulent de tes yeux,
Le sang qui se répand à tes pieds et souillent ce sourire enfantin.
J’aimerais te faire part
Du soleil qui brille en mon coeur.
Qu’il puisse, comme à moi,
T’illuminer de sa splendeur
Et écarter toute trace de noirceur.
Je ne peux te dire de promesse
Autre que mon affection t’est acquise
Je sais que le soir ce rêve t’oppresse,
Je ne suis pas celui qu’il faut que tu convoitises.
Je t’offre ma main, pour un temps seulement.
Notre destin n’est pas de ne faire qu’un, malheureusement.
Je te caresse la joue, s’il-te-plait, crois en demain.
A tout, tu sais, il y a une fin et un lendemain. »
Ecrit en février 2021.