Submergé par la pénombre grandissante,
L’obscurité pour seule lumière rayonnante,
Sous une forêt d’arbres, il passait.
Le regard surplombant l’horizon,
Voyant au loin sans se soucier des obstacles du devant,
Sur un chemin de lave, il marchait.
L’Invisible pour partenaire,
Avançant seul sans jamais l’être,
En sainte compagnie, il trépassa.
L’horloge sonna son Heure,
Délivrant l’Homme de ses chaînes,
Et laissant place au présent seul.
Du haut de la Montagne,
Sans un regard autre qu’en son Cœur,
Sous une forêt d’arbres, plus qu’Un, il ne faisait.