Le monde à son image,
Mes yeux se perdent, quittent leur rivage.
Mon sort entre ses doigts,
Ténébreux et orageux trépas.
Je me noie ayant perdu pied
Sous les terribles pluies de vérité.
La pluie ne cessera de tomber
Tant que le corps ne sera pas entièrement vidé.
Il ne peut subsister deux chemins
Dans un seul et même coeur humain.
Ecrit le 01 mars 2019, réécrit le 27 juillet 2021.