Usé des masques et du paraitre,De la bienséance et de la bonne action,Je m’enfonce dans les abîmes du monde,Là où la vérité seule subsiste,Là où la beauté disparaitAu profit du vil,Du moche,Du réel,Du nous,Du moi,Du je. Au coeur des enfers,J’entrevois mon visage dans les miroirsQui bordent le domaine tout entier.Quel est ce mal que je …