Je m’en remets au ciel, Aux étoiles qui guident mon chemin. Je me suis défait de ce désir malin, Celui de s’écarter de ce qui m’est substantiel. Mon cœur, jamais, ne se vide Lorsqu’il s’en remet à ce qui doit être fait. Une énergie, toujours, le remplit à l’excès Qu’il aime à offrir, à en devenir avide. On ne reçoit que le bien que l’on fait. Je sors …