Lorsque les pages sont vides,
Et que la tête est pleine de rêves et d’idéaux
Qui, un jour, peut-être, s’élèveront aux cieux
Et, crieront avec les oiseaux
Des poésies à en faire pleurer les nuages d’eaux et de lumières.
Peut-être, alors, verra-t-on enfin
Que les écrits n’étaient que des supports
Et que seul l’aventure dictait la main tremblante du destin.
Ecrit le 31 août 2019.