Et si tu acceptais que la perfection n’est pas de ce monde
Que les défaites ne sont que temporaires
Que les gifles de la vie éveillent, qu’elles réveillent,
Que le monde n’est qu’une immense place où les êtres se révèlent,
Que le bon, le mal n’est rien face au juste,
Et qu’il n’est question que d’accepter la mort pour pouvoir pleinement vivre.
Alors, peut-être, verras-tu les étoiles briller dans le ciel noir,
Les pétales de fleurs éclore après le froid d’hiver,
La nature reprendre vie qu’importent les temps,
L’homme revenir à ses sens qu’importe le sang,
La perfection se manifester au travers de l’imparfait,
La destinée se réaliser qu’importe les faits
Et qu’il n’y a qu’une seule chose qui importe, c’est de faire.
Ecrit le 22 juin 2021.