S’il te plaît, laisse-moi t’aimer dans l’éternité.
Permets-moi de déconnecter cette heure qui tourne,
De ne pas me laisser prendre par la peur de perdre.
Je veux t’aimer, mais surtout laisser notre désir s’élever.
J’ai déjà bien trop goûté, à ces plaisirs rapides,
Goût insipide, dégusté avant d’avoir été apprécié.
J’espère en un renouveau, en un semblant de félicité.
Dénouons les liens, retournons dans le passé lorsque les mains se joignaient dans l’éternité.
« Pourquoi s’en remettre au temps et des effets lorsqu’il est possible de s’en extraire et de connaître un commencement qui, sans cesse, se renouvelle sans connaître de fin. »
Arnold Haubursin.
Ecrit le 03 août 2021.