Ecrits de passage

C’est sans un bruit que les cœurs prient.

C’est sans un bruit que les hommes crient,
sans un mot que les cœurs prient,
sans une larme que les âmes pleurent.

Dans l’ombre du silence
se terrent les plus grandes souffrances 
celle dont les lèvres n’arrivent à exprimer
l’intensité des maux.

Paradoxale est la délivrance,
elle ne se cache pas dans la lutte,
mais dans l’acceptation de ce qui est
et qui, bientôt, ne sera plus.

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