Tous ces mots que l’on écrit
À l’ombre de la pensée,
Du regard de l’autre.
Toutes ces pensées que l’on garde enfuies,
Sous les abysses de notre âme,
Sans donner vie à ce qui nous détruit.
Toutes ces paroles que l’on partage
Sans jamais effleurer le fond du puits,
Sans révéler l’authentique couleur derrière l’emballage.
Tous ces masques que nous portons au visage,
Ce monde entre l’homme et son personnage,
Ces sourires qui en cachent des choses,
À ces morts qui nous révèlent l’inévitable : ose.