J’en veux au monde. Oui, à toutes et à tous. Au monde visible, à celui que l’on oublie trop souvent, l’invisible. J’aimerais, de mes mains, les attraper, les secouer et crier à gorge déployé toute la rancœur accumulée depuis que mon premier crie s’est fait entendre. Je veux qu’ils sachent les douleurs, qu’ils ressentent les …